Pardon et liberté

« Je suis venu vous libérer »

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Pouvez-vous citer des pensées négatives que vous pourriez transformer en pensées positives ?

« Dès l’instant où vous lâchez prise dans cette cogitation mentale que vous avez entreprise, immédiatement il se passe quelque chose. Votre âme entend le message de sa libération. Enfin elle va pouvoir agir ! Enfin cela va vous donner la liberté, elle va vous diriger là vers les buts précis où vous deviez aller, mais que votre aveuglement vous empêchait d’atteindre. C’est ça le lâcher-prise ! » (Yvonne)

Sachez aimer (vos enfants) en leur donnant une parfaite liberté. Voyez-vous, avant d'approcher la maladie, la souffrance telle qu'on l'entend, il faut d'abord réaliser ce qu'est de vivre et d'aimer. Si on se met à juger, à ne pas pardonner à tous ceux qui nous ont fait souffrir, nous, est-ce que nous n'avons pas fait souffrir. (...) C'est pour ça qu'il faut pardonner.

Car sans le pardon, on ne peut pas vivre. On ne peut pas être éclairés de l'intérieur car on a une chape de plomb qui tombe sur nous et qui nous empêche de respirer. Il faut donc nous libérer de nos carcans, nous libérer de tout ce qui nous gêne, de ces manteaux les uns sur les autres qui sont des handicaps pour notre vie. Qu'est-ce que c'est qu'un péché ? Qu'est-ce donc qu'un péché par rapport à nous-mêmes ? On nous a dit "Ne pêche plus" mais qu'est-ce que le péché ? Sinon l'ignorance, l'ignorance de nos actes, des tenants et des aboutissants de tout ce que nous faisons. Si nous ne savons pas pardonner par exemple, nous sommes en état de péché ! Pourquoi ? Parce que nous nous condamnons nous-mêmes ! Nous nous détruisons nous-mêmes ! C'est nous qui formons notre maladie ! Nous la créons de toute pièce ! Parce qu'on n'est pas libéré, parce qu'on ne sait pas ce qu'est la libération d'un homme. Il faut donc apprendre à vivre libre. Vous savez le Christ nous apprend une chose étonnante dans le sens de la liberté. Il nous dit : "Si tu as des problèmes, si tu as des soucis, laisse ton fardeau, Je le porterai à ta place." Qui en ce monde peut porter le fardeau d'un autre ? Qui ? Personne ! Pourtant Quelqu'un le peut : Celui qui est en vous. Comment donc se fait-il qu'Il peut porter, Lui, tous les fardeaux ? Parce que dès l'instant où vous lâchez prise dans cette cogitation mentale que vous avez entreprise, immédiatement il se passe quelque chose. Votre âme entend le message de sa libération. Enfin elle va pouvoir agir ! Enfin cela va vous donner la liberté, elle va vous diriger là vers les buts précis où vous deviez aller, mais que votre aveuglement vous empêchait d'atteindre. C'est ça le lâcher-prise ! Le lâcher-prise c'est d'être sûrs que nous sommes habités, que nous sommes deux à vivre dans le même corps et que dès l'instant où nous sentons cette habitation, de lui laisser le libre choix de nos vies.

Car effectivement Lui sait ce qui nous convient parfaitement, et les fardeaux ce sont toutes les lourdeurs de nos chaînes que nous portons tous les jours, nos angoisses, nos inquiétudes. Est-ce que je vais avoir du travail ? Est-ce que 'la boîte' va me garder ? Est-ce que je pourrai faire face à me vie familiale ? Je vais avoir un deuxième bébé, est-ce que mon appartement sera suffisamment grand ? Est-ce que ma femme va pouvoir travailler ? Est-ce que ? Est-ce que ? Il y en a plein. Laissez les choses, je peux vous garantir que depuis des années et des années je vois des gens et des milliers de personnes et que ces milliers et ces milliers de personnes, quand elles ont compris qu'il fallait lâcher, ce sont des lettres et des milliers, des milliers de lettres que j'ai, qui font preuve de tous ces dires, car dès l'instant où la personne a lâché prise, sa vie s'est mise à se transformer de toutes parts, et c'est ça qu'il faut comprendre.

Ne vous acharnez pas à vouloir prendre des décisions dont vous n'êtes pas capables, réfléchissez simplement quelques instants dans le silence : remettez à Dieu, cela veut dire à votre âme, remettez tout le conditionnement de vos décisions, et vous dites ceci à peu près : "Seigneur je te confie tous mes problèmes." Alors vous énumérez si vous avez plusieurs problèmes. "Je Te les confie" et vous le dites une ou deux fois par jour parce que je sais que le tourment vient et reviendra à la charge et on entendra dans notre tête "Tu aurais dû, tu te rends compte et tu ne sais pas... et le travail, et ton rendez-vous, tu te rends compte, tu ne l'as pas fait" et on est harcelé, on sent tout d'un coup que notre tête va éclater parce qu'on n'en peut plus, et il y a les impôts.. Et ceci... et tu as pensé à ça ? Oui, on a pensé à tout mais à rien, on a la tête vide, on n'en peut plus, alors remettez tout ça en ordre !

En ordre ça veut dire remettez les entre les mains de Dieu qui est en vous, de cette Energie Intelligente. A partir de l'instant où vous avez remis ces problèmes dans la confiance, à ce moment-là vous verrez que tout change dans vos vies. Alors pourquoi libération ? Parce que le Christ dit encore un mot qui est d'une importance capitale, pour que vous compreniez ce que vous êtes venus faire sur cette terre. Il dit ceci : "Je suis venu vous libérer." De quelle libération parle-t-Il ? De la libération des esclavages dans son temps ? Allons donc, Il n'avait pas le pouvoir d'aller couper les chaînes. Ce n'était pas cela dont Il parlait. La libération c'est la nôtre, vous êtes des êtres prisonniers tous et toutes. Prisonniers des autres, prisonniers de vous-mêmes, prisonniers comment ? "Pourtant je suis libre, je me meus, je me libère, je vais où je veux !" Oui, vous croyez ? Mais moi je peux vous dire que non ! Vous n'êtes pas libres, car vous vivez sous la dépendance de toutes espèces de gens sans que vous en ayez conscience ! ...de vos patrons, de votre femme, de votre mari, de vos enfants, de tout un système d'organisation des lois.

Vous me direz : "mais je suis un Français, je dois obéir aux lois." Oui et je suis 100% pour obéir à toute loi, mais cela veut dire autre chose, cela veut dire que c'est le conditionnement de l'humain qui ne doit pas vivre en esclave. D'être esclave, cela veut dire accepter de l'autre une dépendance. Dès l'instant où on dépend de quelqu'un, il ne peut pas y avoir maturité de l'homme. Dès l'instant où nous vivons sous une dépendance, il y a systématiquement annulation de liberté, et combien d'êtres, je vois, qui viennent me parler de leurs problèmes et de leurs maux, ils me parlent de leurs maladies mais la vérité n'est pas leur maladie. Je sais où elle est, je vais droit au but et je leur dis. Ils me regardent effarés, parce qu'ils ne savaient pas que ce que je venais de leur dire où était le nœud du problème. Le nœud du problème, il n'est pas toujours là où on le croit. Le cancer, la destruction de nos cellules ne naissent pas par les cellules elles-mêmes. Ils viennent justement par des chocs émotionnels, ils viennent d'un chagrin qu'on a su camoufler, qu'on a cru camoufler.

Ils viennent d'une émotion qu'on n'a pas dite, qu'on a voulu exprimer, ils viennent justement bien souvent d'une maîtresse ou d'un amant qu'on a quitté, pour des raisons dont on ne pouvait pas parler, et on a aussi ça de la perte d'un enfant. Les émotions sont multiples dans la vie. Le cancer n'est que le résultat de nos actions, et c'est pourquoi on peut dire que presque toutes les maladies humaines sont les résultantes de notre vie, de nos actions et de nos pensées. Car chacune de vos pensées est solidaire à la vie ou à la mort. Car si vous créez des pensées, créez j'ai bien dit, des pensées positives, vous allez entraîner une vie, du positif dans vos vies, mais si vos pensées sont négatives : la crainte, le doute, la peur, l'angoisse, sont des pensées négatives, et bien vous allez entraîner un processus qui va vous conduire immanquablement vers une maladie, systématiquement, et nous verrons tout à l'heure quand on parlera plus profondément des maladies, l'enchaînement du négatif par rapport au positif, pour ne parler que de deux ondes très différentes. Eh bien c'est là où il faut concevoir l'importance que tout homme doit apprendre dès le départ de sa vie pour qu'enfin nous puissions vivre, dans le positif, en sachant détourner les pensées négatives que nous ont procurées nos habitudes. Nous vivons par des habitudes, des gestuels qui nous condamnent constamment, et c'est tellement vrai que je pourrais vous expliquer vos vies, du matin au soir, et je vous prendrais en flagrant délit, chaque jour, pour des motifs de comparaison, tout simplement par un système que vous avez entrepris, de vivre dans vos habitudes : on se lève de la même façon, il y a le réveil, on l'éteint, l'autre c'est la femme, après c'est le café, alors on va à la cuisine, et donc on va créer des habitudes.

Ensuite on va passer à la douche ou à la salle de bain, et puis il faut que rien ne dérange nos habitudes, si un enfant vient à ce moment-là dans notre salle de bain, malheur à lui, et donc tout est ainsi, et nous ne comprenons pas qu'en créant des habitudes on va créer un système gestuel qui va nous condamner et donc nous conditionner à vivre avec des tempérances et des intempérances, et puis nous allons accepter des choses et nous sommes intolérants à d'autres, et à partir de l'instant où nous allons rentrer dans un système par exemple d'intolérance, il est évident qu'on va mettre l'autre en état d'agressivité. Par exemple si vous dites "Ah ton café il n'est pas chaud ce matin", "Comment il n'est pas chaud ? Je viens de le faire, il y a une heure qu'il est dans ton bol !", "Mais je ne t'avais pas dit de me servir !" et ainsi de suite et on va créer tout un tas de processus qui ne sont rien au départ. C'est marrant quand on est jeunes mariés, on est tout contents de se remettre dans les bras l'un de l'autre, après s'être engueulés on se dit : "Ça donne du piment"..."


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🎧 Le passé est un mort