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Quelles sont nos peurs par rapport à l’argent ? 

Je vous demande de ne plus avoir peur pour votre avenir, quelle que soit la motivation de la peur que vous créez, l’illusion dans laquelle vous êtes : peur des sentiments, d’être oublié, d’être ignoré, peur de vieillir, peur d’être mal aimé, peur de ne pas exister, peur de ne pas être reconnu, tout cela est véritablement le travail du Malin dans toute sa splendeur. Vivons notre foi et rien ne vous manquera.

Alors où est la justice ? C’est pouvoir l’aider, ne serait-ce que par nos prières d’abord, par notre état d’esprit ; soyez juste envers vous-même, soyez juste envers les autres et nous aiderons la justice à accomplir son œuvre. Mais pour que nous soyons justes avec nous-mêmes, il faut que nous puissions voir quel est notre comportement intérieur vis-à-vis de la société et notre première société, c’est notre famille, ne l’oublions pas. Alors sommes-nous justes, sommes-nous clairs en nous-mêmes pour voir ce qui se passe et ce que l’on génère autour de nous ? Si nous ne sommes pas capables de voir clair en nous, d’être justes avec nous-mêmes et pour les autres, alors il n’y a pas de compassion et nous allons entrer dans le moule de la société qui est en train de se mourir. Est-ce cela que vous voulez ? Est- ce que vous avez fait tout ce chemin d’IVI pour en arriver à baisser les bras devant les difficultés matérielles qui nous sont offertes afin que nous puissions nous élever, en conscience ? Je pense que c’est cela qu’il faut voir.

Cette œuvre ne m’appartient pas. (Silence) Et aucun membre de ma famille n’est bénéficiaire de cette œuvre, en aucun cas. Et j’aimerais que toutes les consciences soient ouvertes à ce sujet.

Si j’avais été un gourou, j’aurais mis mes enfants en première place, on aurait ramassé beaucoup d’argent et on serait partis aux Antilles ou ailleurs manger le fruit de votre travail. La différence est ailleurs, nous ne faisons qu’obéir pour que la parole de Dieu soit entendue sur cette terre et qu’on puisse agir en conscience et en toute liberté. Mais cessons de nous poser des questions fallacieuses qui nous empêchent de vivre ; c’est parce que nous doutons de tout, et de nous-mêmes tout d’abord, que nous avons les difficultés matérielles que nous avons engendrées. C’est pour cela que je fais appel à votre conscience, mais la conscience du cœur, car je sais que dans votre tête, il y a bien longtemps que vous avez compris tout cela ! Mais qu’est-ce que la tête ? C’est le récipient de ce qu’on apprend ; mais c’est le cœur qui est le fondement de la Création et il faut que nous descendions nos pensées vers ce cœur pour qu’elles se dilatent vers tous les autres sans mesure, sans limite.

Voilà ce que je voudrais vous dire à tous, ce matin, de façon à ce que vous puissiez le dire lorsque vous rentrerez chez vous : je vous demande de ne plus avoir peur pour votre avenir, quelle que soit la motivation de la peur que vous créez, l’illusion dans laquelle vous êtes : peur des sentiments, d’être oublié, d’être ignoré, peur de vieillir, peur d’être mal aimé, peur de ne pas exister, peur de ne pas être reconnu, tout cela est véritablement le travail du Malin dans toute sa splendeur. Vivons notre foi et rien ne vous manquera.

Vous travaillez pour Dieu depuis des années mais pour qui prenez-vous Dieu, en doutant de Lui ? Il vous donne la vie, c’est Lui qui vous a créés alors de quoi avez-vous peur ? De manquer ? Mais il est écrit dans la Bible que la dernière des petites herbes a sa goutte de rosée le matin, toutes les fleurs des champs ont leur parfum, tous les oiseaux du ciel ont leur nourriture que leur offre Dieu, ils ne viennent pas piquer dans votre assiette que je sache ! Alors pourquoi croyez-vous que les enfants de Dieu, en direct, manqueraient de quelque chose ?